Moteur 12 Cylindres en V « Colombo » 3,0L 280 Cv
Vitesse max : 250 km/h
Transmission : Boite 4 vitesses
167 exemplaires construits
Présentée en octobre 1959 au Salon Automobile de Paris, la Ferrari 250 GT SWB s’impose, sur piste comme sur route, comme l’un des incontestables sommets de l’histoire de la
La première Ferrari GT équipée de freins à disques. Son empattement raccourci fait entrer dans l’histoire la dénomination SWB (short wheelbase), tout en lui conférant une meilleure tenue de route pour exploiter les 280 cheveaux de son moteur V12 3 litres.
D’abord conçue pour la compétition, elle se taille rapidement un remarquable palmarès. Outre trois victoires consécutives au Tour de France Automobile de 1960 à 1962, deux avec Olivier Gendebien au volant, et une avec Willy Mairesse.
La 250 GT SWB signe en 1960 un tir groupé aux 24 Heures du Mans, de la quatrième à la septième place du classement général. L’année suivante, Jean Guichet et Pierre Noblet lui offrent la troisième marche du podium sarthois.
Le subtil équilibre des lignes tendues et galbées de la 250 GT SWB a beaucoup contribué à consolider la position de Ferrari sur le marché des routières sportives de grande classe.
À l'image des précédents modèles, la 250 GT Berlinetta SWB est dessinée par Pininfarina et carrossée par Scaglietti. Les formes arrondies de la carrosserie laissent néanmoins entrevoir le travail des ingénieurs Carlo Chiti et Giotto Bizzarrini concernant l'aérodynamique.
Tenue pour être l'un des plus beaux modèles automobiles de l’histoire, si pas le plus beau, la 250 GT SWB est considérée comme remarquable pour avoir marié à merveille esthétique et efficacité.
L’exemplaire présenté ici (3487GT) est en acier de la deuxième série la plus aboutie. Il a subi une restauration de haut niveau dans sa couleur d’origine. Il dispose d’une certification Ferrari Classiche attestant que tous ses éléments mécaniques sont ceux d’origine.
Il a fait son entrée dans la Breitt- gallery en 2019.
Moteur 12 Cylindres en V « Colombo » 3,0L 280 Cv
Vitesse max : 250 km/h
Transmission : Boite 4 vitesses
167 exemplaires construits
Présentée en octobre 1959 au Salon Automobile de Paris, la Ferrari 250 GT SWB s’impose, sur piste comme sur route, comme l’un des incontestables sommets de l’histoire de la
La première Ferrari GT équipée de freins à disques. Son empattement raccourci fait entrer dans l’histoire la dénomination SWB (short wheelbase), tout en lui conférant une meilleure tenue de route pour exploiter les 280 cheveaux de son moteur V12 3 litres.
D’abord conçue pour la compétition, elle se taille rapidement un remarquable palmarès. Outre trois victoires consécutives au Tour de France Automobile de 1960 à 1962, deux avec Olivier Gendebien au volant, et une avec Willy Mairesse.
La 250 GT SWB signe en 1960 un tir groupé aux 24 Heures du Mans, de la quatrième à la septième place du classement général. L’année suivante, Jean Guichet et Pierre Noblet lui offrent la troisième marche du podium sarthois.
Le subtil équilibre des lignes tendues et galbées de la 250 GT SWB a beaucoup contribué à consolider la position de Ferrari sur le marché des routières sportives de grande classe.
À l'image des précédents modèles, la 250 GT Berlinetta SWB est dessinée par Pininfarina et carrossée par Scaglietti. Les formes arrondies de la carrosserie laissent néanmoins entrevoir le travail des ingénieurs Carlo Chiti et Giotto Bizzarrini concernant l'aérodynamique.
Tenue pour être l'un des plus beaux modèles automobiles de l’histoire, si pas le plus beau, la 250 GT SWB est considérée comme remarquable pour avoir marié à merveille esthétique et efficacité.
L’exemplaire présenté ici (3487GT) est en acier de la deuxième série la plus aboutie. Il a subi une restauration de haut niveau dans sa couleur d’origine. Il dispose d’une certification Ferrari Classiche attestant que tous ses éléments mécaniques sont ceux d’origine.
Il a fait son entrée dans la Breitt- gallery en 2019.