Moteur 6 cylindres en ligne injection 215 Cv
1400 exemplaires produits de 1954 à 1957
Modèle mythique dans l’histoire de l’automobile la 300 SL « Gullwing » ou « papillon » a fait rêver plus d’un amateur de voiture, lors de sa sortie et toujours de nos jours.
Elle est étroitement dérivée des 300 SL de course, dont le châssis tubulaire, rigide et léger remontait dans les flancs ce qui imposait le système d’ouverture des porte dites papillon.
C’est au salon de New York 1954 qu’est dévoilée la nouvelle auto. La carrosserie a évolué, Les lignes de la 300 SL de course sont globalement gardées mais le style est affirmé. La recette générale est gardée : portes papillon, moteur incliné, volant basculant. Au niveau mécanique on note une révolution.
La 300 SL est en effet la toute première auto à adopter l’injection, mécanique évidemment. Le moteur de 3 litres permet alors de sortir 215 chevaux, plus du double des autres 6 cylindres 3 litres de la gamme.
L’auto est performante. Grâce à sa ligne, à un poids “contenu”, comme on a pu, à 1550 kg, l’auto file à 235 km/h avec le plus petit rapport de pont et 260 km/h avec le plus gros. Elle accroche les 100 km/h en huit secondes seulement.
Étonnamment l’auto va connaître une belle carrière en rallyes. Elle décroche en 1955 le rallye des Tulipes, mais aussi le Liège-Rome-Liège aux mains du pilote belge Olivier Gendebien.
La 300 SL papillon reste au catalogue jusqu’en 1957. 80% des 1400 autos produites sont vendues aux USA
Cet exemplaire a été ivré neuve a un diamantaire réputé de Londres, c’est une des 108 MB 300 SL Gullwings livrés à l'origine en noir nitro.
Cette 300 SL Coupé est restée en Angleterre jusqu'en 2010. Le dernier propriétaire anglais en était propriétaire depuis plus de 36 ans.
L'histoire anglaise est documentée de manière impressionnante par un grand nombre de documents.
En 2010, elle arrive en Allemagne ou Axel Shuette pilote une restauration de haut niveau. La carrosserie a été séparée du châssis. Une documentation complète de la restauration est disponible.
La couleur, le châssis et le moteur sont « matching ». Elle rejoint la Breitt-Gallery en 2019
Moteur 6 cylindres en ligne injection 215 Cv
1400 exemplaires produits de 1954 à 1957
Modèle mythique dans l’histoire de l’automobile la 300 SL « Gullwing » ou « papillon » a fait rêver plus d’un amateur de voiture, lors de sa sortie et toujours de nos jours.
Elle est étroitement dérivée des 300 SL de course, dont le châssis tubulaire, rigide et léger remontait dans les flancs ce qui imposait le système d’ouverture des porte dites papillon.
C’est au salon de New York 1954 qu’est dévoilée la nouvelle auto. La carrosserie a évolué, Les lignes de la 300 SL de course sont globalement gardées mais le style est affirmé. La recette générale est gardée : portes papillon, moteur incliné, volant basculant. Au niveau mécanique on note une révolution.
La 300 SL est en effet la toute première auto à adopter l’injection, mécanique évidemment. Le moteur de 3 litres permet alors de sortir 215 chevaux, plus du double des autres 6 cylindres 3 litres de la gamme.
L’auto est performante. Grâce à sa ligne, à un poids “contenu”, comme on a pu, à 1550 kg, l’auto file à 235 km/h avec le plus petit rapport de pont et 260 km/h avec le plus gros. Elle accroche les 100 km/h en huit secondes seulement.
Étonnamment l’auto va connaître une belle carrière en rallyes. Elle décroche en 1955 le rallye des Tulipes, mais aussi le Liège-Rome-Liège aux mains du pilote belge Olivier Gendebien.
La 300 SL papillon reste au catalogue jusqu’en 1957. 80% des 1400 autos produites sont vendues aux USA
Cet exemplaire a été ivré neuve a un diamantaire réputé de Londres, c’est une des 108 MB 300 SL Gullwings livrés à l'origine en noir nitro.
Cette 300 SL Coupé est restée en Angleterre jusqu'en 2010. Le dernier propriétaire anglais en était propriétaire depuis plus de 36 ans.
L'histoire anglaise est documentée de manière impressionnante par un grand nombre de documents.
En 2010, elle arrive en Allemagne ou Axel Shuette pilote une restauration de haut niveau. La carrosserie a été séparée du châssis. Une documentation complète de la restauration est disponible.
La couleur, le châssis et le moteur sont « matching ». Elle rejoint la Breitt-Gallery en 2019