Giotto Bizzarrini est un brillant ingénieur italien dont le nom est lié à l’élaboration de quelques-uns des plus mythiques bolides Italiens de cette époque.
Employé chez Ferrari, il sera l’un des concepteurs de la Ferrari 250 GTO, la voiture la plus chère du monde actuellement. On lui doit également la fameuse 250 « breadvan » qui améliorait encore les performances de la GTO. À la suite d’une dispute avec Enzo Ferrari il quitta avec d’autres ingénieurs, la firme Ferrari pour travailler à son compte. Il travaillera sur le fameux V12 Lamborghini avant qu’Renzo Rivolta lui demandera de concevoir une GT, ce sera l’Iso Rivolta puis l’A3/C.
En 1965 Bizzarrini reprend l’A3/C à son compte, et devient constructeur, ce sera la Bizzarrini 5300 GT. Dotée d’une ligne magnifique, cette carrosserie tout alu, habille un châssis dont la mécanique à la particularité d’être reculée au maximum vers l’habitacle pour obtenir une répartition idéale des masses (moteur central avant)
Le moteur est identique à celui qui équipe les Chervrolet Corvette, un V8 débordant de couple et de puissance.
Cette GT était une des plus rapides de son époque, des versions compétition furent développée et on les verra lors des grandes compétitions, comme à Spa ou au Mans.
Celle-ci est une « Stradale » de première série, c’est à dire une version route.
Elle a été importée neuve aux Etats-Unis ou elle a été gravement accidentée, ce qui a imposé son retour en Europe au début des années 90, pour la reconstruction de la carrosserie chez le meilleur spécialiste Italien de la marque, Salvatore Diomante, l’ancien chef d’atelier de Giotto Bizzarrini.
L’authenticité de la voiture, connue et immatriculée depuis de nombreuses années en Allemagne, est attestée par Jack Koobs de Hartog expert de la marque et auteur du livre référent retraçant l’histoire de ces voitures.
Cette rare Bizzarrini a fait son entrée dans la Breitt-Gallery en 2019.
Giotto Bizzarrini est un brillant ingénieur italien dont le nom est lié à l’élaboration de quelques-uns des plus mythiques bolides Italiens de cette époque.
Employé chez Ferrari, il sera l’un des concepteurs de la Ferrari 250 GTO, la voiture la plus chère du monde actuellement. On lui doit également la fameuse 250 « breadvan » qui améliorait encore les performances de la GTO. À la suite d’une dispute avec Enzo Ferrari il quitta avec d’autres ingénieurs, la firme Ferrari pour travailler à son compte. Il travaillera sur le fameux V12 Lamborghini avant qu’Renzo Rivolta lui demandera de concevoir une GT, ce sera l’Iso Rivolta puis l’A3/C.
En 1965 Bizzarrini reprend l’A3/C à son compte, et devient constructeur, ce sera la Bizzarrini 5300 GT. Dotée d’une ligne magnifique, cette carrosserie tout alu, habille un châssis dont la mécanique à la particularité d’être reculée au maximum vers l’habitacle pour obtenir une répartition idéale des masses (moteur central avant)
Le moteur est identique à celui qui équipe les Chervrolet Corvette, un V8 débordant de couple et de puissance.
Cette GT était une des plus rapides de son époque, des versions compétition furent développée et on les verra lors des grandes compétitions, comme à Spa ou au Mans.
Celle-ci est une « Stradale » de première série, c’est à dire une version route.
Elle a été importée neuve aux Etats-Unis ou elle a été gravement accidentée, ce qui a imposé son retour en Europe au début des années 90, pour la reconstruction de la carrosserie chez le meilleur spécialiste Italien de la marque, Salvatore Diomante, l’ancien chef d’atelier de Giotto Bizzarrini.
L’authenticité de la voiture, connue et immatriculée depuis de nombreuses années en Allemagne, est attestée par Jack Koobs de Hartog expert de la marque et auteur du livre référent retraçant l’histoire de ces voitures.
Cette rare Bizzarrini a fait son entrée dans la Breitt-Gallery en 2019.